Les fils du placard
Dans l’atelier feutré d’un tailleur parisien, les aiguilles glissaient avec une précision méticuleuse sur les étoffes de soie et de laine. Chaque couture était un serment silencieux, chaque cours tissé une de fiançailles faite à ceux qui porterait le vêtement. Pourtant, durant quelque générations, quelque chose troublait l’artisan.